Promotion et rayonnement de la langue française.

Maintenir la qualité de notre langue, sans laxisme ni purisme.

Orthographe - Grammaire

Ponctuation et majuscules
             Ponctuation et majuscules sont des signes indispensables à la clarté de l’écrit....


 1. Non ! Ce n’était pas chose évidente que cette conversation toute en langue morte.  Et pourtant je la tins.
 2. Hier, nous achetâmes le DVD d’un spectacle de Félicien Marceau et, tout de suite, nous le mîmes.
 3. Comment ? Vous avez mis à la casse votre vieille Volkswagen ? C’est bien dommage ! Tiens ! Vous souvient-il qu’un jour vous me la passâtes ?
                                                          Lire la suite
Lundi, mardi, mercredi,… sont des noms communs soumis aux mêmes règles d’accord que les autres noms communs : on écrit tous les lundis et tous les dimanches.
Sauf que, vous vous en doutez bien, ça n’est pas si simple ! Lire la suite

Pour ne pas que
Supposons que vous soyez électricien  professionnel.  Vous déclarez solennellement devant vos amis, mais tout de même « maladroitement » :
            « Je veux travailler bien pour ne pas que mes clients soient déçus …»,
- Horreur ! : « Cachez cette expression que je ne saurais ouïr » !
- « Pourquoi ? »
- Parce que « Pour ne pas que », locution aujourd’hui très employée dans le langage parlé, gauche, n’est pas correcte. Lire la suite

A la queue le leu
Chaîne que l’on forme en dansant, lors d’un bien long repas de noces, bien  arrosé, comme pour réveiller une ambiance qui tendrait à s’assoupir.
Si l’expression leu leu fait un peu nian nian, elle s’éclaire cependant un peu par son histoire.
Le  deuxième mot leu est tout simplement une forme ancienne du mot loup. (du latin lupus). (cf. Saint-Leu-La-Forêt, en région parisienne.) L’expression a d’abord été le leu, (= le loup) dans à la queue le leu, par comparaison aux loups en meutes, qui se déplacent en file indienne, la tête de l’un se trouvant derrière la queue de l’autre : à la queue le loup. Lire la suite

Préférer ou aimer mieux

-« Que préférez-vous, l’automne ou le printemps ? »  – « -Je préfère le printemps que l’automne ».
Dans cet exemple, la construction de la réponse, de plus en plus fréquente en conversation courante comme à l’écrit, est incorrecte.
 Elle peut s’expliquer par une proximité sémantique, du verbe préférer, avec l’expression aimer mieux. (étymologiquement, préférer = « porter en avant », en première place,). Mais de nos jours : Lire la suite